Après une trentaine d’années d’expérience comme professionnelle de l’information dans les secteurs publics et privés de même qu’à environ quinze ans de la retraite, pourquoi diantre se lancer dans une recherche doctorale?
Parce que, comme praticienne, il me manquait un quelque chose. Il me fallait fermer la boucle pour mieux léguer à d’autres générations, celles de mon fils et de mes petits-enfants. Je voulais être complète, praticienne-chercheure. Cette dialectique a trés bien été expliquée par Argyris et Schön (1974).